J’ai des forts souvenirs de la Sardaigne où j’ai eu la chance de travailler un été et de rencontrer des habitants, des vrais, et de partager avec eux quelques instants qui après bientôt 30 ans, sont encore vifs.
Il faut bien évidemment pas mélanger, mais quand m’a proposé de passer les vacances d’été en Corse, j’ai de suite dit « oui » en me rappelant mon expérience sur l’ile plus au sud, les merveilleux paysages et des gens magnifiques (pour ne pas parler des spécialité).
En rentrant et en déchargeant le camper, je me suis aperçu que j’avais pris « quelques » souvenirs culinaires (il y en a de petites cachettes dans un mobil-home).
Une chose qu’il faut absolument observer: éviter les grandes surfaces qui veulent vous vendre des produits du terroir: c’est impossible que la Corse produit autant qu’est vendu. En effet, on s’aperçoit vite qu’il s’agit de porc qui vient d’ailleurs apprêté sur place (donc, pas avec les porcs mi-sauvage que l’on croise quant on se déplace dans le maquis).
Côté vin, ça va, mais il faut préfrer la visite à la cave et choisir son vin après avoir connu celui qui le produit. Même chose pour le miel. Même chose pour les fromages…
Au final un joli tableau de chasses…
avec des spécialités tels le lonzu, le figatellu, la coppa ou les saucissons
et divers fromages, frais (mmmh, le brocciu),
à pâte molle ou mi-dure
et tant d’autres spécialités.
Sans oublier ce que la nature offre, sans devoir passer par la case « porte-monnaie »: les herbes aromatiques de la méditerranée ou le tilleul.
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